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Les clauses de prise en charge en matière d’assurance chien et chat

Si le contrat d’assurance santé animale prévoit le remboursement des frais vétérinaires pour les infections et les accidents survenus, il faut toutefois prévoir les exclusions.

Pour la protection de l’animal de compagnie, couramment du chat ou du chien, force est de souscrire à un contrat d’assurance santé animale. Ce qui ne serait pas à confondre avec l’option assurance responsabilité civile dans le contrat multirisque habitation, qui intervient plutôt en cas de dommage administré à autrui par le chien ayant été dûment déclaré dans le contrat. L’assurance santé animale se souscrit singulièrement avec une prime autonome. Elle permet un remboursement qui pourrait aller jusqu’à 100% des frais vétérinaires pour toute maladie ou éventuel accident.

Un délai de carence est prévu par le contrat souscrit. Il faut en tenir compte sérieusement. C’est la période entre le moment de la signature du contrat et sa date de validité. Pendant cette période, le contrat n’aurait pas encore son effet, et les infections atteintes par l’animal, ainsi également qu’avant la souscription, seront strictement exclues de la prise en charge et ne cautionneront nullement un remboursement. Donc, la souscription d’une assurance animale ne doit pas attendre que celui-ci tombe malade ou qu’un accident survienne à l’encontre.

Pour les accidents largement étendus comme les blessures, les chutes, ou autres cas pareils, le cas serait fermement exclu tout au long de la validité du contrat. Tout futur souscripteur est mis en garde par une information au préalable par les conditions générales de vente. Il serait important de les étudier avant de conclure un contrat. Il serait pareillement traité pour le cas des maladies héréditaires. En mesure de prémunition, il faut garantir par une réclamation des tests d’ADN des géniteurs du chiot ou du chaton qui serait acquis. Cela se fait par une vérification qu’aucun risque de contamination ne menace l’animal car les parents sont indemnes. Cette mesure est prise afin d’écarter toute menace de transmission.

Pour toutes les prestations prises en charge, le souscripteur est mis en garde sous quelques conditions afin que celle-ci ne soit pas réduite ou bannie parmi les exclusions. Certaines maladies doivent faire l’objet d’une prévention, le plus souvent par le fait de la vaccination. Pour toute éventuelle couverture, les animaux doivent être attestés de vaccination. En général, dès leur acquisition, une primo-vaccination est effectuée pour prévenir les principales maladies. C’est la première visite chez le vétérinaire qui conditionnera la mise au point de l’état vaccinal de l’animal et pour arranger un calendrier des rappels pour les mises à jour.

L’assurance animale prend en charge, en général, les examens complémentaires, les analyses, les radios… Toutefois, des exclusions sont prévues dans le contrat d’assurance comme pour les actes de détartrage et de stérilisation qui ne sont pas considérés comme des maladies. Le financement de ces interventions est possible en choisissant la formule d’assurance santé pas chère comprenant un forfait prévention.

Chaque année, ce forfait est renouvelé. Celui-ci sert à financer les traitements particulières comme les antiparasitaires et les vermifuges. On pourra également s’en servir pour l’acquisition d’une alimentation spécifique chez le vétérinaire ou encore des produits de soin et d’entretien.

Les propriétaires doivent respecter les règles lorsqu’ils veulent garder chez eux un animal de compagnie, au risque de poursuites judiciaires, notamment pour les cas des chiens ou des chats. Il faut que le propriétaire d’un animal de compagnie manifeste ses prises en charge, par exemple en respectant le calendrier vaccinal, le vermifuge, les visites de routines, etc. Bien que la souscription à une assurance santé animal ne soit pas obligatoire, le propriétaire ferait mieux de déclarer son animal pour prévoir les éventuels soucis de santé. En effet, pour une cotisation ou une prime d’assurance entre 10 à 50 euros par mois, le propriétaire peut assurer son animal et prévoir les grosses sorties d’argent en cas d’accident et/ou de maladie chronique.

Tout propriétaire d’animal de compagnie doit savoir que les frais de santé animal deviennent de plus en plus chers, depuis les visites de routines jusqu’aux interventions chirurgicales en passant par les achats de médicaments et des examens en laboratoire. La seule solution pour prendre soins correctement l’animal de compagnie est de souscrire à une assurance santé animal, car il n’est pas anodin de débourser des milliers d’euros en cas d’hospitalisation, par exemple.

Pourtant, durant la souscription à une assurance, les compagnies d’assurance peuvent poser des restrictions à leurs contrats en fonction de la formule choisie ou peut-être selon la race ou l’état de santé de l’animal. La clause de non prise en charge et d’exclusion peut concerner certains éléments, à savoir :

    • L’âge : certains assureurs déterminent un âge minimum et un âge limite à la souscription du

contrat d’assurance Santé animal

  • Les maladies héréditaires et congénitales
  • Les maladies connues à la souscription
  • Les maladies causées par le manque de respect de la vaccination
  • Les accidents connus à la souscription
  • Les soins liés à l’implantation de prothèse
  • Les soins de chirurgie esthétique
  • Les frais occasionnés par un mauvais traitement ou par la négligence
  • Les frais engagés en sus du plafond annuel
  • Tous les frais qui ne sont pas mentionnés dans le contrat

La clause de non prise en charge peut concerner également le délai de carence, la suspension de garantie. A cet effet, le propriétaire doit assumer seul les factures du vétérinaire. La compagnie d’assurance n’est pas obligée de rembourser les dépenses engagées.